R.E.D. Admin
Messages : 257 Date d'inscription : 23/01/2012
Feuille de personnage Nom: Sedah LeFlamboyant
| Sujet: Google Drive Mar 28 Mai - 12:34 | |
| Bien le bonjour !
J'aimerai aujourd'hui vous parler de Google Drive. Qu'est ce donc ? Hé bien c'est selon Wikipédia un service de stockage et de partage de fichiers dans le cloud lancé par la société Google. Concrètement ce service permet à tous possesseur d'un compte sur Gmail de pouvoir modifier avec d'autre personne un fichier commun. Par exemple vous avez un compte rendu à faire avec des collègues, au lieu de vous embêter à envoyer des mails aux uns et aux autres, d'attendre les réponses chaque fois etc, vous pouvez en ligne créer un fichier que toute les personnes que vous autoriseraient pourrons modifier. Cela permet à un groupe de travailler sur en même temps un seul et unique texte.
Et là vous vous dite probablement quelque chose du genre « Ok, mais est ce qu'on s'en foutrai pas un petit peu ? ». Hé bien non ! Car en effet si a l'origine le Drive est fait pour permettre à un groupe de travailler en même temps, nous en avons trouvé une utilité toute autre.
Il s'agit de regrouper un certain nombre de personne avide d'écriture et de leur permettre d'écrire tous en même temps lors de jeux avec des règles donnés.
Imaginez trois personnes à la santé mentale vacillante entrain d'écrire ensemble un texte La pomme de terre MAUDITE par Mostos, Aigle et R.E.D. - Spoiler:
La pomme de terre MAUDITE : Elle est petite et jaune, mais aussi vieille qu’une morue des îles. Ses parents l’on traumatisé lorsqu’elle était jeune, en la cachant au fond de la cagette. La fameuse cagette à abricot des sœur siamoises lesbiennes unijambistes qui hantent encore les cauchemars de notre patate bien aimée. Petite... Jaune... Traumatisé... et pourtant pleine d’ambition, telle une chinoise condamnée à travailler pour Appel toute sa vie. Sa vie était d’ailleurs à l’image de son aspect : poilue. Mais son plus grand rêve était de gravir l’éverest en sautant sur son minuscule corps. C’est ce qu’elle avait promise aux sœurs lesbiennes unijambistes et siamoise, ce qui au fond disons le, fait beaucoup d’adjectif pour qualifier de pauvres abricots. Une chose était sur, elle était déterminée et sure d’elle, elle en avait dans le pantalon et elle ne comptais plus rigoler longtemps. Alors un jours, elle sortit de sa cagette et se mit à rouler. Elle roula en France, en Belgique, aux pays où les patates sont des déesses (dans lesquels elle serait bien restée), et vénérée. Jusqu’au moment fatidique de l’arrivée au mont Everest, un petit trajet pour l’homme,un grand pour la pomme terre de bon vieux terroir français. Spécialement quand on est une petite patate de couleur jaune aussi vieille qu’une morue. Au pied du mont, elle rencontra une camarades asiatique, qui aux yeux près avait la même histoire qu’elle, elle lui teint à peut près ce langage: “si votre bridage se rapporte à votre cordage, vous êtes l'hôte de la patate du quartier”. Ce à quoi, elle lui répondit “ Si votre cordage se rapporte à votre bridage, vous êtes l’hôte de la patate du quartier”.
Car en effet, la patate parlait à son reflet dans l’eau, la schizophrénie ayant commencé à prendre le dessus. Pauvre petite patate qui durant son voyage à perdue son esprit ainsi que sa virginité lors d’une orgie campagnarde à tendance masochiste, plus communément appelé salade de pomme de terre. Elle gardera pour toujours des séquelles de cette soirée, cette terrible soirée. Heureusement, pour elle, l’esprit perdue, la mémoire aussi. Et c’est en voyant son reflet, vieux, usé, rappé qu’elle se rendit compte, de toute l’horreur de la condition des patates : frites, patate à l’eau et autres galettes de pommes de terre, tout ça était de trop, il fallait agir!
Alors elle grimpa, pendant des jours, utilisant ses propres bras comme pioche pour monter au sommet de la plus haute pointe de la plus haute vallée de la plus haute montagne. Mais ce n’était plus par envie de grimper en haut de l’Everest, mais belle et bien pour faire le plus grand discours jamais donné sur la condition de ses frères et sœurs pommes de terres, et aussi pour se filmer et faire des millions de vue Youtube. Car en effet, son plus grand rêve était de devenir podcasteur, et de raconter de la merde sur un sujet aussi inutile que farfelu. Une fois parvenue en haut, elle rencontra un moine qui du haut de son mètre 30 se faisait agresser par un voisin bridé. Tous deux se disputaient depuis déjà plusieurs semaines et ils finirent par décider, de régler leurs différents par un lancé de caillou. Le moine malheureusement confondit la petite patate avec une pierre. La patate se retrouva ainsi étreinte, prisonnière d’un étau d’origine inconnue, et, avant qu’elle ne puisse dire un mot elle fut projetée dans un emballage de hachis parmentier congelé findus. Pour rester incognito dans ce nouvel environnement, elle affirma être un choux de bruxelle, tous ses autres nouveaux camarades la crurent. C’est ainsi que la pomme de terre ambitieuse, devint une pomme de terre raisonnable et décida de finir sa vie sous vide. La morale de cette histoire les enfants, c’est que la prostitution, c’est mal et illégal., sauf entre pomme de terres.
FIN
???
Ou pas...
Bientot dans vos i pod, la vengance de la patate douce volume 2 écrite et réalisé par jean poivrot II et produit par géant vert.
Vraie Fin.
Aucun légume n’a été maltraité durant l’écriture de ce conte philosophique.
La pomme de terre n'était qu'un premier essais. Un jeux dont nous avons eu l'idée consiste à modifier un texte déjà existant de manière complètement wtfesque, un tour d'écriture est désigné, et chaque personne a 1 minutes pour modifier le texte comme il l'entend. Prenez le temps de lire le texte original avant de lire la version modifiée pour pouvoir mieux en profiter. L'Assomoire de Zola (texte original): - Spoiler:
Gervaise avait attendu Lantier jusqu'à deux heures du matin. Puis, toute frissonnante d'être restée en camisole à l'air vif de la fenêtre, elle s'était assoupie, jetée en travers du lit, fiévreuse, les joues trempées de larmes. Depuis huit jours, au sortir du Veau à deux têtes, où ils mangeaient, il l'envoyait se coucher avec les enfants et ne reparaissait que tard dans la nuit, en racontant qu'il cherchait du travail. Ce soir-là, pendant qu'elle guettait son retour, elle croyait l'avoir vu entrer au bal du Grand-Balcon, dont les dix fenêtres flambantes éclairaient d'une nappe d'incendie la coulée noire des boulevards extérieurs ; et, derrière lui, elle avait aperçu la petite Adèle, une brunisseuse qui dînait à leur restaurant, marchant à cinq ou six pas, tes mains ballantes, comme si elle venait de lui quitter le bras pour ne pas passer ensemble sous la clarté crue des globes de la porte.
Quand Gervaise s'éveilla, vers cinq heures, raidie, les reins brisés, elle éclata en sanglots. Lantier n'était pas rentré. Pour la première fois, il découchait. Elle resta assise au bord du lit, sous le lambeau de perse déteinte qui tombait de la flèche attachée au plafond par une ficelle. Et, lentement, de ses yeux voilés de larmes, elle faisait le tour de la misérable chambre garnie, meublée d'une commode de noyer dont un tiroir manquait, de trois chaises de paille et d'une petite table graisseuse, sur laquelle traînait un pot à eau ébréché. On avait ajouté, pour les enfants, un lit de fer qui barrait la commode et emplissait les deux tiers de la pièce. La malle de Gervaise et de Lantier, grande ouverte dans un coin, montrait ses flancs vides, un vieux chapeau d'homme tout au fond, enfoui sous des chemises et des chaussettes sales ; tandis que, le long des murs, sur le dossier des meubles, pendaient un châle troué, un pantalon mangé par la boue, les dernières nippes dont les marchands d'habits ne voulaient pas. Au milieu de la cheminée, entre deux flambeaux de zinc dépareillés, il y avait un paquet de reconnaissances du Mont-de-Piété, d'un rosé tendre.
C'était la belle chambre de l'hôtel, la chambre du premier, qui donnait sur le boulevard. Cependant, couchés côte à côte sur le même oreiller, les deux enfants dormaient. Claude, qui avait huit ans, ses petites mains rejetées hors de la couverture, respirait d'une haleine lente, tandis qu'Étienne, âgé de quatre ans seulement, souriait, un bras passé au cou de son frère. Lorsque le regard noyé de leur mère s'arrêta sur eux, elle eut une nouvelle crise de sanglots, elle tamponna un mouchoir sur sa bouche, pour étouffer les légers cris qui lui échappaient. Et, pieds nus, sans songer à remettre ses savates tombées, elle retourna s'accouder à la fenêtre, elle reprit son attente de la nuit, interrogeant les trottoirs, au loin. L'hôtel se trouvait sur le boulevard de la Chapelle, à gauche de la barrière Poissonnière. C'était une masure de deux étages, peinte en rouge lie de vin jusqu'au second, avec des persiennes pourries par la pluie. Gervaise, le ptit pôt des os costauds ou le début de L’Assommoir revisité par Most, Aigle et R.E.D. - Spoiler:
Gervaise (c’est rempli de vitamine C pour fixer le calcium sur les os) et ce petit pot avait attendu Lantier, le mari de la Laitière jusqu'à deux heures du matin, quelle pute. Puis, toute frissonnante d'être restée prisonnière en camisole à l'air vif du frigo (et les seins à l’air aussi) de la fenêtre, elle s'était assoupie, jetée en travers du lit, fiévreuse, chaude, les joues trempées de larmes (et de sang de marmotte). Depuis huit jours, au sortir du Veau à deux têtes, où ils mangeaient comme des porcs, il l'envoyait se coucher avec les enfants et ne reparaissait que tard dans la nuit, en racontant qu'il cherchait du travail, deux blondes sous les bras et deux pintes de brunes dans chaque main. Ce soir là, pendant qu'elle guettait son retour, elle croyait l'avoir vu entrer au bal du Grand-Balcon (car il était plus grand que toutes les autres étagères du frigo), dont les dix fenêtres flambantes éclairaient d'une nappe d'incendie la coulée noire des boulevards extérieurs et, derrière lui, elle avait aperçu la petite (grosse) Adèle, une brunisseuse de mère en fille qui dînait à leur restaurant, la seule cliente de la nuit, marchant à cinq ou six pas, tes mains ballantes, comme si elle venait de vomir le repas qu’elle venait de manger et de lui quitter le bras pour ne pas passer ensemble sous la clarté crue, mais pourtant véridique des globes oculaires de veau posé dans le rangement de la porte.
Quand Gervaise s'éveilla, vers cinq heures, après une grasse matinée, raidie, radis, les seins brisés (décidément), elle éclata en sanglots, en effet la diarrhée était trop forte, lentement elle s’écoulait d’elle comme un torrent de cendres, alors que de ses yeux étaient voilés de larmes, elle faisait le tour de la misérable chambre garnie comme un pot pourrie, meublée d'une commode de noyer dont un tiroir manquait, de trois chaises de paille et d'une petite table graisseuse, badigeonné de vaseline sur laquelle traînait un pot à eau ébréché au moins autant que les cuisses de la mères michot tant celle ci avait subit les effets néfastes de l’âge mais revenons à notre récit et demandons nous plutôt comment autant d’objets insolites peuvent tenir dans un frigidaire. On avait ajouté, pour les enfants, un lit de fer rouillé qui barrait la commode et emplissait les deux tiers de la pièce, le tiers restant étant occupé par des cadavres de musaraignes mortes pour la plupart décapité, triste spectacle... mais quand on a rien à manger... La malle de Gervaise et de Lantier, grande ouverte dans un coin, montrait ses flancs vides, et tel la carcasse d’un animal mort d’indigestion, on pouvait y trouver un vieux chapeau d'homme, ou un chapeau de vielle homme tout au fond, ce qui montre par ailleurs donc qu’elle n’était pas vraiment vide, chapeau enfoui sous des chemises et des chaussettes sales, parce que Gervaise bien que femme au foyer n’avait jamais assez de temps pour faire une machine... quelle femme ; tandis que, le long des murs, sur le dossier des meubles, pendaient un chat troué, un pantalon mangé par la boue, les dernières nippes dont les marchands d'habits ne voulaient pas.
Au milieu de la cheminée, entre deux flambeaux de zinc dépareillés, il y avait un paquet de reconnaissances du Mont-de-Piété, d'un rosé tendre ainsi que quelques restes de macabés, étrangement arrivés là. Un paquet de reconnaissance ? Petit paquet digne d’un dramatique roman à l’eau de rose, pour la seul reconnaissance d’une prostituée.
C'était la belle chambre de l'hôtel , la chambre du premier, qui donnait sur le boulevard et non celle d’un vieux motel tout mité, car madame la Gervaise à un minimum de classe.
Cependant, couchés côte à côte sur le même oreiller, les deux enfants dormaient. Claude, qui avait huit ans, ses petites mains d’enfant illégitime, rejetées, étaient hors de la couverture, il respirait d'une haleine lente, quasi absente tandis qu'Étienne, âgé de quatre ans seulement, souriait, un bras passé au cou de son frère, ce qui ne saurait présager qu’une tendance incestueuse.
Lorsque le regard noyé de leur mère s'arrêta sur eux, elle eut une nouvelle crise de sanglots, quelle chialeuse, elle se demanda pourquoi ces abominations étaient encore là, eux qui lui mangeaient tous son temps, ses repas et qui ne rapportaient rien de bon si ce n’est les allocations familiales, maigres consolation... Elle tamponna un mouchoir sur sa bouche, pour étouffer les légers cris qui lui échappaient mais soudain elle s’aperçut que cette bouche n’était pas la sienne mais celle de Gervaise 2, sa sœur jumelle, manchote unijambiste et chauve qui vivait en collocation avec eux.
Et, pieds nus (autant dire qu’elle était vraiment toute nue), sans songer à remettre ses savates tombées, elle retourna s'accouder à la fenêtre, elle reprit son attente de la nuit, interrogeant les trottoirs, parlant aux murs et aux oiseaux au loin. Bref, c’est une putain de chtarbé? Oui fils, tu peux pas tester cette schizophrénie exacerbée qui te permet de voler, de voyager et d’entendre parler les animaux et les divinités. Pour elle, l'hôtel se trouvait sur le boulevard de la Chapelle, à gauche de la barrière Poissonnière et à l’angle de la 6ème avenue, mais en réalité, il était juste dans sa tête.
C'était une masure de deux étages, peinte en rouge lie de vin, parce que oui, couleur vin (c’était une référence chez ces gens là), jusqu'au second, avec des persiennes pourries par la pluie et le vent et l’orage et la neige et la grêle et des torrent de lave en fusion et des volcan en éruptions ainsi que des pluies acide de lait maternel.
Mais en réalité tout ça n'existait pas, elle vivait dans une salle de deux mètres sur deux. Entièrement capitonné de blanc, un blanc éclatant, perçant, aussi déprimant que éclairant. Et quoi de mieux qu’une salle tous de blancs qui nous fait voir des visions à chaque mouvements quand on est aussi fou que possible. Cette salle était nommé le frigo et Gervaise y avait élut domicile depuis maintenant un an.
FIN
Enfin plus sérieusement sur ce joué nous avons aussi écrit une petit histoire plutôt sérieuse avec un système encore une fois de tour/tour avec 2mn par tour. Lemlibar, le goût du quotidien par Mostos, Aigle et R.E.D. - Spoiler:
Cette histoire, ce périple débuta en fin de journée, après que Kelvin eut finit son service. Ce dernier était sur le chemin du retour comme chaque soir, seul mais heureux et satisfait de sa vie simple. Et constamment il entendait cette mélodie, qui dans sa tête était comme un appel vers l’aventure. Un appel qui lui disait d’avancer, constamment, quoi qu’il lui arrive, quel que soit les éléments. C’était une sacré mélopée qui l'empêchait de traîner des pieds et qui le faisait sourire quel que soit la couleur de la journée. “Marche vers le Soleil, toute l’année, court toute ta vie s’il le fallait”. Étrangement, cela raisonnait comme depuis toujours dans la tête de Kelvin. Les cheveux aux vent, il arrivait déjà dans son modeste appartement tout près du restaurant pour lequel il travaillait depuis maintenant plusieurs mois. Il lui arrivait de se demander pourquoi il entendait cette mélodie, quelle en était sa signification, avait-elle guidée sa vie de nomade ? Lui qui depuis sa majorité, migrait de ville en ville, semblait rechercher quelque chose, mais quoi ? Cela, peut être qu’un jour il le découvrirait. Vagabond un jour, vagabond toujours. Cette phrase était gravé dans son esprit comme un tatouage que lui aurait marqué la vie. Il passait son temps à fuir, à déménager la nuit comme si c’était une question de survie. Mais malgré tout ça, la mélodie continuait, incessante. Elle le réconfortait quand plus rien n’allait. Il poussa la porte de l’immeuble, son grincement le fit frissonner, il était assez peureux. L’immeuble aux loyers assez légers et plutôt vide étaient devenu sa maison depuis trop de temps maintenant. De plus en plus, il songeait à repartir. Aujourd’hui en montant les escaliers, il entendit la mélodie habituelle mais quelque chose était différent, elle n’était plus aussi douce, plus aussi chaleureuse qu’auparavant, la, elle le déchirait de l'intérieur; des flammes glacés lui déchiquetaient les entrailles. Il frissonna, se plia, se courba comme pour combattre. Et alors que le mal saisissait son corps, la peur vint saisir son esprit. Un flot constant de question et d’interrogation vint taper dans sa tête, mais il ne pouvait réfléchir à cause de la douleur. Pourquoi la mélodie avait-elle changé ? c’était la seule véritable question qui l'intéressait. Pourquoi l’abandonnait-elle ? Était-ce un avertissement ? A terre, achevé il s'endormit, tomba dans le cauchemar, il se tordit, sua, pleura comme s’il était possédé. Des heures, des jours passèrent peut être sur le sol devant son logis. Il se réveilla les yeux creusés de cernes, le ventre plié, la mélodie frappait toujours inlassablement son crâne. Il était désormais seul contre le monde et sa froideur. Quelle serait sa prochaine destination, aurait-il enfin la paix, tant d’interrogations nouvelles résonnaient dans la tête du jeune homme qui avait l’habitude d’une vie d’une simplicité effarante car il en était maintenant sûr. Il savait. C’était la mélodie qui l’avait constamment poussé à voyager, à partir, à rechercher... Mais rechercher quoi ? Quelle était sa destination ? Quelle était sa mission ? Alors pour la première fois dans sa vie, le doute le poussa à chanter la mélodie. Le portail s’ouvrit. Intemporel. Une nouvelle porte s’ouvrait devant lui. Un portail bleuté aux dorures argentées et aux pétales fleuris avait éclos devant lui. Un pas le séparait désormais d’un autre monde, d’une autre vie. Il posa son pied en avant, puis l’autre, mais soudain comme foudroyé, il s'arrêta, il avait faim et soif, il était épuisé d’un coup, se sentait vieillir, se sentait mourir, que devait-il faire? Une seul solution, continuer ! Continuer à avancer, car pour lui c’était maintenant une évidence. La destination qu’il avait toujours cherché était ce monde. Son monde. Car il n’était pas de la Terre et dieu seul sait comment il y avait atterrit, mais en revanche il savait qu’il n’y reposerais plus jamais le pied. Bienvenue à Lemlibar Libère moi, libère moi de ce monde, je n’appartiens pas à celui ci ! Ce doit être une erreur, une erreur emprisonnant mon âme, enchaînant les miens, troublant mon calme, ma dernière chance. Libère moi ! Libère moi de ce monde ! FIN
Voila, vous savez maintenant ce qu'est le Drive, si vous avez des idée de concepts faisable avec ou envie de nous rejoindre sur certain jeux surtout faite le savoir Enfin petit lien vers une page de jeux d'écritures divers | |
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